Bonjour à tous

Au début de l’année 2022, je me suis lancé dans l’écriture de diverses nouvelles (exercice qui m’était très peu familier) pour des concours et autres recueils. J’ai varié les styles : anticipation, policier, horrifique… Et dans ce galop d’essai, je me suis risqué à l’érotisme avec succès, puisque ma nouvelle a été sélectionnée pour la collection annuelle « Osez… 20 histoires » aux éditions de La Musardine, dont le thème était « Jeux libertins ».

Alors, je ne vais pas faire la chronique de ma propre publication, bien sûr, mais venant d’achever ce recueil, je souhaitais mettre en avant les deux histoires qui m’ont le plus plu.

D’une façon générale, le ton était clairement annoncé lors de l’appel à texte. Il fallait du s…, du s… et surtout du s… Et vous ne serez pas déçus. Cet ouvrage n’est pas fait pour ceux qui ont froid aux yeux. Il y en a pour tous les goûts.

La première nouvelle qui est sortie du lot est « Les Cheeky Girls au Silver Smile Saloon » de Lunatik (beaucoup d’auteur et autrice écrivent sous pseudo). D’abord parce que c’est la seule des histoires qui se déroulent dans le passé, à l’époque du Western. J’ai apprécié le style, la plume, la capacité de l’auteur (ou de l’autrice, allez savoir) d’appeler un chat, un chat, sans tomber dans la vulgarité. Et la fin, avec sa petite surprise, qui n’est pas habituelle dans ce genre.

La seconde se nomme « Escape Sex » de Camille Nivex. Lorsque j’ai lu l’appel à texte, j’ai pensé qu’il fallait se concentrer autour du jeu. Beaucoup de nouvelles étaient très intéressantes, mais avaient pris quelques libertés sur le thème. Il faut avouer que le jeu libertin reste un sujet très vaste. « Escape Sex » est l’histoire qui collait au mieux à ce thème, avec de l’humour et des scènes assez chaudes sans multiplier les personnages.

Bref, vous souhaitez faire divaguer votre imagination sur la plage cet été ou au bord de la piscine, plongez-vous dans ce recueil débridé et sans filtre, en espérant que ma maigre participation attirera toute votre attention avec « Tel est pris qui croyait prendre ».